L'éveil d'Éric BAH
L’Éveil d’Éric BAH
(Koan - 2023)
Résumé : Un recueil de poésie, abordant les thèmes suivants :
L’Amour, La Naissance, Les Sens, les Éléments, La Nuit, Le Silence, La Mort, Les Vies.
Mon avis : Le poème cité en quatrième de couverture donne la note ; moi, j’ai craqué…
Alors naturellement, j’ai savouré la suite… Tous les textes sont dans la même veine.
De la rime ou de la prose, parfois des textes courts style haïkus et toujours une émotion intense.
De l’antagonisme, de l’ambivalence, des métaphores et partout, la nature comme un écho.
Lire les mots alignés ne suffit pas, il faut les vivre, les ressentir… Ici, ça remue, ça touche.
Éric BAH joue avec les mots avec une facilité déconcertante, il use de la métaphore avec brio.
Cet auteur est indéniablement un amoureux des mots et de la nature, et ça se sent, ça se ressent…
Ce recueil de poésies fait naître un tourbillon d’émotions ; ce sont des sentiments, des vers qui font vibrer la corde sensible, et qui atteignent leur cible : le cœur…
Quelque soit le thème abordé, l’amour, la naissance, les sens, les éléments, la nuit, le silence, la mort, les vies ; il y a toujours un point commun, c’est le regard philosophique, la parole du sage qui voit et qui décrit, avec des mots empreints de douceur et de poésie. Des mots qui raisonnent dans la tête et qui résonnent dans le cœur.
L’Éveil, c’est l’éveil des sens, l’Éveil à la vie, l’Éveil à la musicalité de cette poésie pleine de tendresse et de douceur.
Page 52 : Au vent J’ai tout dit
Et moi, que puis-je dire ? J’en ai perdu mes mots… Je me sens ridicule à chroniquer des textes qui se suffisent à eux-mêmes, j’ai l’impression de les tâcher, de leur manquer de respect…
Pardon, je me tais et je laisse la place à cette pépite, que je conseille vivement à tout le monde. Lisez, susurrez les mots et imprégnez-vous d’eux… Fermez les yeux, et ressentez-les...
En bref, un bourdonnement poétique dont on ne se lasse pas…
À lire lové(e) dans des coussins, en écoutant de la musique zen, et en se régalant de Physalis (amour en cage) et d’un verre de Monbazillac…
Commentaires
Enregistrer un commentaire